DNA ou ADN, peu
importe
que ce soit en castillan ou en anglais : le fait
est que je meurs
par tes protéines,
par tes acides aminés, par tout
ce que tu as été une fois,
quand tes parents
revinrent de dîner un peu pompette
et, après avoir tiré sur
la chaîne,
en firent une nouvelle avec ton nom,
avec tes courbes et tes
fantaisies.
Donne-moi une
photo de ton DNA
au format CNI car je me retords
d’envie de la regarder.
C'est un poème
joli et drôle bien qu’il ait peut-être un air trop bon enfant, à la manière
d’un Bourbon sautant le protocole ou d’une chanson de Joaquín Sabina.
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