Quand
j'écoutai le sage astronome;
quand
les preuves, les sphères s'aligneùrent en face de moi;
quand
on montra les cartes célestes et les
tables
pour faire l'addition; diviser et mesurer;
quand,
assis, j'écoutai l'astronome
parler
avec gross succés à la salle de conférénces,
soudain,
sans raison , je me sentai las et malade;
jusqu'à
que je me lévai et me glissai vers la sortie, pour marcher seul,
à
l' air humide même de la nuit,
et
de temps en temps,
regarder
en silence parfait les étoiles
Pour
commencer l'an et ne pas nous fatiguer trop, on met ce commentaire de
Aldoux Huxley, qui en Science et Littérature a écrit à propos de
ce poème:
Pour
certaines personnes la contemplation des théories scientifiques
c'est une experimence presque si
merveilleuse qu'être amoureux ou contempler le crépuscule. Whitman
n'en faisait pas partie. Tant qu'être qui jouait et soufrait, les
faits et les hypothèses de l'astronomie le laissaient froid; il
préférait le silence et les étoiles. C'est une option fort
légitime s'il s'agit de poètes
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