lundi 12 mai 2025

SPECIMEN DAYS (MICHAEL CUNNINGHAM) ET LA POLLUTION LUMINEUSE

Il comprit alors que là-bas, si loin de la ville même, la fumée était dispersée et les étoiles apparaissaient visibles. Il faillit tomber en regardant au-dessus. Les étoiles scintillaient, brillantes et mobiles sur un champ d’ébène. Il y en avait des milliers. Ils les connaissaient, au moins quelques-unes, pour la carte de l’école. Il y avait le Gran Cheval, Le Chasseur. Au loin si faibles qu’il ne pouvait pas être sûr, mais certainement elles étaient-là, les Pléiades brillaient, un bouquet d’étoiles mineures, toutes les sept, dans un cercle de phosphorescence 


Tous les observatoires astronomiques se situent écartés des grandes villes à cause de cette pollution lumineuse, la même situation avec certains animaux qui ont besoin de la nuit. Même quelques arbres se décontrôlent, mais comme on disait dans le film « Amanece que no es poco » sur les américains, la lumière nocturne a aussi de bonnes choses. Pour ne parles pas de la panne d’électricité que nous avons eu récemment, voilá Camarón et sa roche de silex 

 Avec de la roche de silex 

Je me suis fait un chandelier 

P’je me puisse allumer  

Parce que je ne veux plus de lumière