pendant
que les feuilles des vignes poussaient dès le nez et les bras,
vivant et mort en même temps, mis en terre et à l’air, grouillant
des mouches et des larves au long des joints de ses os.
On
parle aussi dans La Regenta du delirium tremens. Le monde de la
bohème et
la
boisson s’entendent bien et ce domaine est bien connu par les
écrivains. “Wine is bottled poetry”, dit Stevenson.
C’est
possible, bien sûr, de trouver bonnes oeuvres sur addictions, la
meilleure d’après moi c’est L’infinie Comédie où j’ai
notamment appris sur Alcooliques anonymes
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