lundi 10 février 2020

INTERDIT D’ENTRER SANS PANTALONS (JUAN BONILLA) ET LA POÉSIE COMME PURIFICATION DE LA RÉALITÉ

Le poéte travaille avec des avances qu’il dépense avant de rien finir et il dépense le tout en des billets et des changes de ligne, puisque la poésie est un voyage à l’inconnu, c’est comme l’extraction du radio, on obtient un gramme du produit après des années de travail


Je pense que c’est vrai, la poésie résiste bien la comparaison avec n’importe quelle méthode d’isolement ou extraction d’une substance. On peut dire qu’il poéte distille la réalité et il obtient la sustance poétique. Le monde serait l’échantillon (la gangue) et la poésie le minerai qu’il faut extraire

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