UN TRAMWAY EN SP (UNAI ELORRIAGA) ET LES PROPRIETÉS PHYSICO-CHIMIQUES DU MERCURE QUI LE FONT TELLEMENT SUGGESTIF

 Le mercure pour exemple.Imagine une goutte de mercure sur une table de marbre. Ensuite leve la table et fais tomber le mercure.C’est comme de l ’eau mais plus parfait ,car il est métal et car il ne se séche pas. Si tu verses de l’eau sur un vitre, elle se disperse et se fond. Et en plus elle se séche. Le mercure non. Le mercure ´forme la goutte la plus parfaite qu’il y a. Et bien qu’il acier soit très spectaculaire ,le mercure c’est plus spectaculaire que l’acier puisque il est liquide, et froid. Le mercure c’est quelque chose de curieux

Avec la disparition des thermomètres de mercure on perd aussi la première experiénce d’étonnement scientifique pendant l’infance. Quand tous nous étions un peu malades le thermomètre parfois tombait en se romprant et les gouttes de mercure formaient un curieux troupeau que nous regardaient entre l’étonnement et la brume de la fièvre ; une fort rare experiènce que nous raconte Carlos Marzal en sonpoème Métal lourd.

Un jour on parlera du chapelier fou de Alice aux pays des merveilles parce qu’il était fou intoxiqué par le mercure, comme c était typique dans son métier

LE MÉTIER DE VIVRE (CESARE PAVESE) ET L’INVISIBILITÉ DES FONCTIONS VITALES

Tout ce qui notre corps fait ,sauf l’éxercice des sens, est inaperçu. Les fonctions (circulation, digestion) les plus vitales,nous ne les connaissons pas. De même il arrive avec notre esprit: nous ignorons tous ses mouvements et mutations, ses crises, etc, tout qu’il ne soit pas la superficiale conception schématissante.

C’est seulement la maladie qui nous révèle les profondeurs fonctionnales de notre corps.De la même manière nous pressentons celles de l’esprit, quand nous sommes déséquilibrés.

Toute la physiologie se passe dans le noir, le corps humain reste comme un frigo, il est obscur jusqu’à on l’ouvre.Tout se passe dans le noir,occulte ou à plein jour mais microscopiquement. Seulement quand quelque chose cloche nous sommes conscients et en faisons attention.” Nous savons de l’amour par tout ce qu’il éclaire, tourne, accroît, et régit” donc nous devons nous contenter avec cette connaissance de notre corps comme les vers du poète Manuel Alcantara nous disent