LES TOURISTES DE L’IDEAL (IGNACIO VIDAL-FOLCH) ET TAMARINIER

 L’arbre sur lequel s’est déposé, on l’appelle ici l’arbre de la pluie. On lui donne ce nom-là parce qu’il reçoit la rosée dans les fleurs, et à l’aube quand il les ferme pour se défendre du soleil, renverse l’eau sur qui est dessous… Si tu t’endormis il te réveille avec une bonne douche !...

 

Bien que la principal utilisation du tamarinier soit donner de l’ombre au bétail et en plus quelques des fleurs soient comestibles, son plus grand prestige provient de la filigrane hydraulique qu’il réalise  et de sa cime majestueuse , de quelque sorte il ressemble au dragonnier.

C’est une bonne occasion pour parler des Journaux de cet auteur « L’illusion , voilà ce qui compte » avec des marques après des jours vécus par l’auteur jusqu’à ce moment-là.

N’IMPORTA QUEL FILS (EDUARDO HALFON ) ET LA FABLE DU CRAPAUD BOUILLI

 Il nous dit que si on met un crapaud dans une casserole d’eau bouillant, le crapaud très soudain sautera dehors et se sauvera. Mais si on l’introduit dans une casserole d’eau tiède et puis la température commence à augmenter petit à petit à la cuisinière, le crapaud ne percevra pas ces légères augmentations et il mourra bouilli dedans la casserole ( l’auditoire tout resta muet avant telle image) . Mais le professeur, rapide, leva la main avec théâtralité , comme voulant dire haut  et nous expliqua  qu’il s’agissait d’une fable, rien d’autre…. Au siècle XI déjà, il nous dit, le physiologue allemand Friedich Golzt tandis qu’il faisait des expériences pour vérifier l’immortalité de l’âme montra que dès que l’eau atteint   la température de 25 degrés, un crapaud saute de l’eau

D’après moi  cette fable fonctionnerait assez bien comme image des risques du change climatique. L’augmentation de la température de la planète est si graduelle dans la échelle d’une vie humaine qu’on n’aperçoit  presque rien. Mais nous serions le crapaud qu’on   chauffe peu à peu

Au livres de divulgation scientifique il y la prémisse d’éviter les formules à tout prix et fonctionner avec des métaphores  et des fables comme celle-ci.

MA PART D´OMBRE (JAMES ELLROY) ET L’OPTIQUE GEOMETRIQUE

 Il était midi et le soleil tombait dans un angle de quatre-vingts degrés

En optique Géométrique l’angle d’incidence se mesure toujours en rapport à la normale, à la ligne verticale perpendiculaire à la surface sur laquelle se répercute. Selon cet avis le soleil tombe avec un angle de zéro degré à midi. Aujourd’hui je me suis mis pointilleux , comme disait Juan de Mairena  que les professeurs tous  devenaient pédants quelque fois, et c’est pour ça cette remarque  sur les degrés. Si on parle du livre, on dit que ce n’est pas mal, mais il apporte trop de détails  sur l’investigation de la mère de l’autour. Il avait des raisons, bien sûr.