lundi 21 octobre 2019

LA MER, LA MER (IRIS MURDOCH), LES TRADUCTIONS CRÉATIVES ET LES BONNES MÉTAPHORES SCIENTIFIQUES

She was, in the long orbit of her love for me, at the nearest point
Elle était dans le périhélie de la longue orbite de son amour pour moi


Personne ne parlait du périhélie dans l’anglais original, bien que sa définition soit exprimée. La traductrice, Marta Isabel Gustavino Castro, paracheve ce qui tombait à pic chez Iris Murdoch, avec succés à mon avis.La création de bonnes métaphores, comme cette que Murdoch pose et Marta Isable culmine, c’est un étayement que la science peut apporter à la littérature. Le périhélie est justement cela: le point plus proche du soleil dans l’orbite éliptique qu’il décrit; on appelle aphélie le point le plus éloigné

lundi 7 octobre 2019

LES RACINES DU CIEL (ROMAN GARY) ET LA CONTRIBUTION DE LA FOLIE À L’É VOLUTION DES ESPÈCES


Ça y est ,mon ami- dit-il-.Jamais perdre l’ éspoir. Il faut ètre fou, c’est vrai,pour se tenir et es pérer,mais le premier reptile qui trina son ventre dehors l’eau il y a a million d’ans pour aller vivreà la terre tenta de répirer à même temps bienqu’il n’a pas de poumons, c’est lui qui était fou aussi.Malgré tout/À la fin le reptile devint un homme. On essaie toujours de faire le mieux, peut-être un jour on deviendra homme , tu sais


¡Grande nouveauté pour moi!. Je ne sais pas si Darwin a compté sur la folie pour son travail. Moi, qui suis fort prudent , je remercie la contribution des audacieux quand même .Aujourd’hui on parlerait de sortir de la zone de confort .De toute façon, la dernière phrase semble un bon conseil pour tout