lundi 18 mai 2020

BARONI :UN VOYAGE (SERGIO CHEJEC) ET LE MIRAGE

À cette heure-là encore, ou à nouveau, la température semblait faire trembler les choses. Ces situations de chaleur intense qui poussent aux descriptions avec des contours diffus, des réfractions de lumière, des objects au ralenti, etc. Et pourtant le contraire m’étonnait, la vitesse; comme si la température en exerçant une certaine façon d´effroi avait un effect désintégrateur et la même réalité,dans ces nombreux articulations, avait peur et voulait échapper vite à cette situation. Dés qu’ on sortait au jardin, même sans faire le premier pas ni sentir l’impact de la chaleur, on pouvait déjà saisir l’inquiétude, la nature fluide et écrasée. On savait que au-dessous de cet’inquietude couvait une combustion où tous les éléments participaient et elle se manisfestait par des réactions isolées et spontanées


Voilà ce que la littérature peut faire avec les phénomènes physiques:compléter leur compréhension moyennant les images. C’est ce que nous, les professeurs de Physique ,essayons de faire tous les jours. Le monde entier a pu avoir cette illusion d’optique dans l’horizon de la route un jour très chaud. Nous fondons nous-mêmes en la voyant par mimétisme, c’est pour cela qu’on parle du mirage.
Après avoir compris et senti le phénomène grâce au texte précédent, il n’a presque pas d’importance savoir que cela est produit à cause de la différénce de densités des….

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