Il se sentait calme mais absolument étiré comme si l’espace s’incurvait et il s’incurvait ensemble .Il semblait que tout,inclue sa propre personalité,était sur le point de disparaître. Il était un minimum de sa nature, une particule,et pourtant il était aussi la surface autour qui semblait infinie. Il était un atome, un électron, un proton, un point dans l’espace vide.Il était transparent et cette transparence lui faisait être invisible. Il était vide, était net,il n’était rien. Au même temps cependant, il était energie purifiée, pure activité,un être en état pur L’expérience même n’était pas douleureuse mais d’une certaine façon et très près d’elle existait une douleur éfrayante, parfois cachée comme un trou noir ou comme une dense masse de matière indestructible
Iris Murdoch n’est
pas trop encline à mettre des questions scientifiques dans ses romans ;elle est plutôt amie de
philosophie. Mais en ce cas elle est déchainée: protons,électrons, trous noirs,
atomes… mais soient-ils bienvenus pour
attirer cette écrivain au blog. La seul fois que nous avons réussi à l’amener à ce
blog, c’a été surtout à propos de sa
traductrice
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