-Moi j’en ai déjà payé plus de deux cents pour ma maladie. Dites moi le poison que vous voulez, n’en trouverez aucun que j’aie pas encore mis. Je suis un magasin de poison vivant. J’ai bu du sublimé corrosif, réspiré des vapeurs de mercure, mâché de l’arsenic , fumé de l’opium, bu teinture d’ iode… J e me suis ruiné le foie, les poumons, les reins, la bile, la cervelle, les intestins. Personne ne sait quelle maladie je souffre
—Lo mejor es inyectarse petróleo en el brazo, debajo
de la piel —afirmó alguien desde la puerta—. Mi primo tuvo tanta suerte que le
cortaron el brazo hasta el codo y hoy no tiene que preocuparse por el servicio.
-Il vaut mieux s’ injecter du pétrole au bras, au dessous de la peau-
affirma quelqu’un de la porte- . Mon cousin eut autant de la veine qu’il se fit
couper le bras jusqu’au coude et à
present il n’a pas de préocupations pour la vie militaire
Ce livre, comme Le bourreau de Berlanga, est la plus
grande plaidorie contre la peine de
mort. Tous ces pauvres soldats qui essaient d’avoir quelque maladie pour se
dérober de la guerre me rappellent ce
que mon frère me racontait. Quand il
allait à l’hopital Militaire de Seville pour se soumettre aux tests d’allergie qui le déroberaient de “ la mili” , les
garçons allergiques devaient courir et à cachette ils ramenaient et frottaient
pour la face et le corps tous les fleurs et plants qu’ils trouvaient
Ma mère même avait un petit dossier aves toutes les accréditations médicales de
mes malaises divers. Finalement il n’y eut pas besoin de tout ça parce que avec
les prolongations par des études je suis arrivé à l’extinction de “la mili”. Donc
ni mon frère ni moi sommes en mesure de profiter de cette experiènce mais il faut aller de l’avant
On pourrait penser, pas sans raison, que la excuse
scientifique de cette entrée , c’est prise avec des pincettes. Ça sera une
licence que nouseremittrons tandis que la qualité du livre jutifie forcer sa
présence , comme dans ce cas,
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