lundi 15 novembre 2021

L’HOMME QUI INVENTA MANHATTAN(RAY LORIGA) ET LA DÉRIVE CONTINENTALE

 … avec ce mouvement invisible semblable à la dérive continentale qui sépare les personnes qui s’aiment


Bravo pour Loriga.Voilà un grand exemple montrant comment la science  peut servir à la littérature en conférant les  métaphores à sa juste valeur.Ces cas    justifient suffisamment  la présence d’une formation basique scientifique dans les écoles.Du même sont intéressantes les métaphores  dans le sens inverse , celles qu’il  faut créer pour donner une idée aproximée , sans mathématiques en jeu ,d’un phénoméne physique .Aux manuels de Physique  les ondes sont décrites  comme transmission d’énergie sans transmission de matière, et quelqu’un pensa , heureusement  que c’était comme si une rumeur se propagait d’un extrème à d’autre du pays  sans qu’ aucun de ses transmiseurs bouge

 Servant donc les métaphores de vas communicants entre scientifiques et lettrés pour conférer une touche élégante  (même un peu prétentieux) à un texte litteraire et pour réussir que  gens sans formation scientifique profonde envisage  la compréhension de phénomènes physiques complexes

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