dimanche 16 décembre 2018

RATS AU JARDIN (VALENTIN PUIG) ET LA CONTRIBUTION DE LA GRAVITATION NEWTONIENNE À NOTRE BONHEUR


Splendide instant solitaire de plenitude heureuse. Tout tourne autour de cette satisfaction , mais pas de moi, pas autour d’un ego autocomplaisant, mais plein bien qu’ il ne soit pas un jour de travail profitable. Dans ces cas, la gravitation newtonienne est parfaite: les plats se tiennent sur la table, des cuillères et fourchettes ne se tombent pas des mains, le champagne passe de la bouteille à la coupe sans accidents , les conversations des convives sonnent à longe distance et les serveurs envisagent que tout pourra encore s’en sortir mieux



L’auteur du blog dédaigne le côté prévisible de chasser le laperaeu : Gonzalo Torné dixit en El Culturalde El Mundo. Non tant pour élégance que pour déconneter de ma tâche de professeur et de père avec lesquelles je par surcroit remplis l’envie de sonner les cloches.
Donc, Valentin Puig dit bien: la gravitation newtonienne est parfaite, dans ce cas-là et presque toujours et , si elle serve à couronner le bonheur de quelqu’un, je n’oserai pas de le contredire. Moi-même je me suis rendu compte que les équations de Maxwell m’ont fait sourire quelquefois

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