Splendide
instant solitaire de plenitude heureuse. Tout tourne autour de cette
satisfaction , mais pas de moi, pas autour d’un ego
autocomplaisant, mais plein bien qu’ il ne soit pas un jour de
travail profitable. Dans ces cas, la gravitation newtonienne est
parfaite: les plats se tiennent sur la table, des cuillères et
fourchettes ne se tombent pas des mains, le champagne passe de la
bouteille à la coupe sans accidents , les conversations des convives
sonnent à longe distance et les serveurs envisagent que tout pourra
encore s’en sortir mieux
L’auteur du blog
dédaigne le côté prévisible de chasser le laperaeu : Gonzalo
Torné dixit en El Culturalde El Mundo. Non
tant
pour
élégance
que
pour
déconneter de ma tâche
de professeur et de père avec lesquelles
je par
surcroit remplis l’envie de sonner
les cloches.
Donc,
Valentin Puig dit bien:
la gravitation newtonienne est parfaite, dans ce cas-là et presque
toujours et
, si elle serve à couronner le bonheur de quelqu’un,
je n’oserai pas de le contredire. Moi-même
je me suis rendu compte que les équations de Maxwell m’ont fait
sourire quelquefois
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